La rue n'est jamais nue

La rue n’est jamais nue est une déambulation textuelle à travers les interstices de la ville.


À partir de fragments de bois abandonnés sur un chantier à Montréal, j’ai recomposé un extrait du livre La Disparition de Georges Perec. Les mots, écrits à la main, ont été replacés dans l’espace urbain, livrés à leur propre effacement. La photographie en garde la trace, avant que tout ne disparaisse.

Le projet prend la forme d’une série de cartes postales : un texte morcelé, à reconstituer. Entre écriture, objet, image — une traversée des formes.

Le projet en forme de cartes postales

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