Ville sauvage

Dans la série Ville Sauvage, j’ai travaillé avec des pellicules photographiques périmées pour capturer ces espaces urbains en marge, ces terrains vagues devenus sauvages. 


Mon regard s’est arrêté sur des éléments fragiles, des traces précaires qui, loin d’être anodines, se transforment en reliques silencieuses. Ces images sont des anti-événements : des compositions fugaces qui donnent à voir l’incertitude et la fragilité du paysage qui nous entoure. Elles mettent en lumière ces « presque rien » — ces détails sans nom — qui racontent pourtant beaucoup sur le temps qui passe et la ville qui change.

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